« Cette session plénière permet d’achever un cycle de réforme en discussion depuis les trois dernières années. Nous exhortons tous les participants à travailler de manière constructive pour parvenir à une conclusion sur tous les aspects de la réforme. »
« De manière générale je tiens à remercier la présidence du sous-groupe et tous ceux qui ont activement contribué à la recherche d’une avancée sur le sujet. De notre point de vue, il va de soi que le PK doit élargir la définition des diamants de conflits. Le PK ne peut pas prétendre mettre fin aux diamants de conflits et émettre des certificats qui garantissent des pierres comme provenant de zones exemptes de conflit, sans définir ce qu’est un conflit. Il ne peut pas prétendre être un instrument de prévention de conflits sans posséder les mesures adéquates pour empêcher les diamants de financer la violence et les conflits. Aujourd’hui le PK ne parvient pas à faire cela et ouvre ainsi la porte aux abus de ceux qui cherchent à faciliter toutes sortes d’opérations illicites, violentes et criminelles. Par conséquent, tout État membre qui cherche encore à entraver les discussions durant ce moment clef pour le PK, fuit non seulement ses responsabilités mais cherche intentionnellement à maintenir en place cette faille autodestructrice pour le PK. Ils seront tenus responsables pour cela. »
Nos propositions pour faire fonctionner le PK sont simples. Le minimum devrait être de mettre fin aux cas de violences graves le long de la chaine d’approvisionnement de diamants bruts, quel que soit l’auteur ou le contexte dans lequel ceux-ci se produisent. »
Lisez le discours inaugural complet :